Que sont les Poconéols ?
Je cite ici l’article de Plantes et Santé sur les Poconéols :
Jean-Louis Bourdoux entre assez tôt au séminaire et étudie auprès des Franciscains à Ambialet, dans le Tarn. En 1905, à trente ans à peine, encore convalescent d’une mauvaise tuberculose pulmonaire, il s’embarque pour une mission au cœur de l’Amazonie brésilienne. Après six mois de voyage, il arrive sur les plateaux du Mato Grosso, dans le petit village de Poconé… mais en pleine rechute de tuberculose. Là, les curandeiros, les guérisseurs indiens, le soignent et font merveille.
Remis sur pied, le père Bourdoux fait alors preuve d’une grande ouverture d’esprit et apprend auprès des indigènes les vertus des plantes locales. Il parcourt des villages reculés et va à la rencontre des populations, découvrant toute une tradition de soins par les plantes. Durant seize ans, il parcourt trois à quatre mille kilomètres chaque année. « J’avais soin d’écrire les principales caractéristiques des plantes, l’endroit où elles se trouvaient. Je me suis toujours arrangé pour m’en procurer au moins un échantillon au prix parfois de longs détours et de grandes fatigues », relate-t-il.
Aidé de ses confrères, il rassemble deux cent cinquante plantes aux vertus curatives incontestables : dans un premier répertoire il les numérote avec leurs indications et, dans un deuxième, il précise pour chaque maladie les plantes qui conviennent. Il peaufine alors sa sélection des plantes au pendule afin d’évaluer si les essences sélectionnées sont bonnes, neutres, voire contraires. Toujours à l’aide du pendule, il fait ses premiers mélanges après avoir établi le moment idéal pour prélever chaque plante. Il les conserve ensuite dans l’alcool durant 21 jours avant de les filtrer et de les placer dans un récipient hermétique.À LIRE AUSSI
Les Poconéols ne sont plus commercialisés
De retour en France en 1921 et avec son équipe de missionnaires franciscains, il enrichit ses formules d’autres simples issues des quatre coins du monde. En 1925, les Poconéols commencent à être vendus en France en tant que médicaments homéopathiques.
https://www.plantes-et-sante.fr/articles/rencontres/138-le-pere-bourdoux-linventeur-des-poconeol
L’objectif du père Bourdoux est alors atteint : soigner le plus grand nombre, avec des remèdes simples, peu coûteux et sans effets secondaires. Il va consacrer les quarante années qui suivent à la diffusion de ses connaissances et à l’amélioration de ses formules. Il multiplie les voyages (Grèce, Canada, Mexique, Afrique, États-Unis…) et retourne à sa mission de Mato Grosso. À plus de 70 ans, en 1950, il est en relation avec 44 centres de missions à travers le monde. Ses correspondants explorent la botanique locale permettant la mise au point de la formule définitive des gouttes Poconéol ainsi que des dragées Maravilha (dont la commercialisation a malheureusement été arrêtée en 2002). En 1963, l’humble prêtre devenu un grand savant s’éteint à 87 ans.
Le laboratoire Pierre Fabre a suspendu la commercialisation des Poconéols en 2011, invoquant des difficultés d’approvisionnement de certaines plantes mais surtout les exigences réglementaires imposant de re-déposer de nouveaux dossiers pour obtenir le renouvellement des Autorisations de mise sur le marché (AMM) des produits homéopathiques.
Télécharger le livre épuisé du Dr Simon : scans PDF ou ocr PDF.
Que sont les infoceutics ?
Les infoceutics sont une application des travaux de Jacques Benveniste puis Luc Montagnier. Ces travaux ont été repris par une équipe russe (B.P. Surinov, K.G. Hachumova, E.P. Germanov, A.A. Fedorenko. Information Pharmacology – Replication of Information Copies of Drug Substances in Aquatic Vehicles – cet article reste discret sur l’appareillage).
Les Infoceutiques (ICs) sont des signaux électromagnétiques générés en utilisant des algorithmes ou enregistrés à partir de substances possédant des effets thérapeutiques, de guérison ou autres effets biologiques.
Ces signaux peuvent être réimprimés dans un milieu liquide. Il a été observé que l’eau ainsi informée produit des effets biologiques in vitro et in vivo (souris, humains) : l’infoceutics de l’acétylcholine augmente les battements d’un coeur de grenouille.
Sur le plan théorique, deux hypothèses sont avancées:
- L’eau a un caractère morphogénique (en France cf travaux du Pr Marc Henry). On parle de Théorie Électrodynamique Quantique (QED), domaines de cohérence. L’eau est capable d’imiter le spectre électromagnétique de substances diluées et dynamisées.
- Une cellule vivante, hydratée, est capable de lire des signaux électromagnétiques (outre sa capacité déjà reconnue à lire des structures moléculaires).
Plus de détails et explications sur cette page.
Pour la liste des publications et brevets de Jacques Benveniste et Luc Montagnier en rapport avec cette technologie, voir l’article « De la biologie numérique à la pharmacologie informationnelle« . Bibliographie étendue sur le sur le site d’Infopathy.
Découverte d’une trousse de témoins de 50 Poconéols
Certainement destinée à un cabinet de curiosité, j’ai « chiné » cette trousse de témoins radiesthésiques en ligne sur eBay pour une somme modique; tous les tubes étaient intacts et bien scellés. J’ai fait vérifier leur niveau d’émission (par la radiesthésie) et de manière surprenante, il était encore très important, plus important semble-t-il qu’un tube de granules contemporain fraîchement sortie des laboratoires Boiron ! Il devenait alors envisageable d’en enregistrer le signal avec le kit de développement d’Infopathy.
La trousse contient seulement 50 des 60 Poconéols développés ultérieurement. Les indications thérapeutiques sont publiés dans des livres. Certains sites en ligne en font la synthèse.
Conversion des Poconéols en e-Poconéols/infoceutics
Préparation
Ouverture de l’opercule de protection. Prélèvement de la poudre de fixation (lactose) et dilution dans de l’eau distillée. Puis dynamisation par vortex.
Enregistrement des signatures correspondantes
Cet enregistrement se fait avec un appareil livré avec le kit de développement d’Infopathy (un Non Disclosure Agreement ayant été signé, je ne m’étendrai pas) capable d’enregistrer les signatures électromagnétiques et l’eau dynamisée avec un produit. On obtient au final l’enregistrement analogique des signaux, qui sont stockés dans un fichier numérique audio, ce qui permet d’en visualiser le spectrogramme. L’écoute d’un tel fichier n’a pas d’intérêt (chuintements). Le signal n’a bien entendu rien d’universel et dépend du dispositif d’enregistrement et de reproduction/réimpression utilisé.
Images ci-dessous : aperçu des signaux respectifs des 3 premiers Poconéols. Remarquez les différences de signaux. L’enregistrement du même produit produit le même signal modulo un bruit de fond très faible visible dans les couleurs sombres.
Publication sur le site d’Infopathy
Finalement les fichiers d’enregistrements sont transmis au site d’Infopathy pour publication : liste des Poconéols. Liste des produits numérisés par mes soins. Liste des 2632 produits numérisés et publiés en mode « Public » à ce jour (la bibliothèque ne cesse de grandir). Je précise en mode public car les tous les produits numérisés ne sont pas nécessairement partagés, certains sont à usage trop spécifique (protocoles personnalisés).
Limitations
La dose
La notion de dose reste indéfinie en l’état actuel des recherches; par exemple pour une prise d’aspirine par rapport à la masse corporelle : combien de prise de d’eau ou de gouttes informées pour simuler une dose 1 gramme d’aspirine (la démonstration d’une action simple biologique in vitro et in vivo n’est pas suffisante) ? La fréquence de prise à plus d’influence que le volume d’eau absorbé. Toutefois il n’est pas certain que cette notion de dose soit définie un jour dans ce nouveau cadre de physique quantique appliquée au vivant, et peut-être même n’est-il pas souhaitable qu’elle le soit. Ces technologies se situent hors du paradigme newtonien (voir à ce sujet l’ouvrage « L’eau morphogénique » du Pr Marc Henry), et prophétisent une médecine complémentaire à celle que nous connaissons qui ne se fondera pas sur la notion de dose mais d’une information rétablissant l’harmonie. Translaté sur un plan purement informationnel, la notion de dose pourrait être convertie en fréquence ou nombre de fois qu’on a été en contact avec l’information.
Le site d’Infopathy publie un très grand nombre de substances allopathiques, phytothérapiques, homéopathiques, et de compléments, minéraux, etc. J’ai pu en tester quelques unes avec succès mais la notion de dose reste totalement empirique et donc mystérieuse. Comme le déplore les auteurs russes de la publication, les recherches dans ce domaine sont moquées. Toutefois l’expérimentation a permis de définir des recommandations sur la fréquence des prises de l’eau informée ; en les suivant on obtient des résultats.
Cette difficulté de la dose ne se présente pas de la même manière, voire pas du tout (selon la dilution) pour l’approche homéopathique qui transmet une information à laquelle l’organisme réagit. Plus exactement elle ne se présente pas pour les hautes dilutions. En effet la pharmacopée homéopathique dispose de nombreux produits pouvant être administrés en faibles dilutions (1D, 2D par exemple) et ceux-là conservent les traces du produit d’origine. Toutes les souches ne sont pas utilisables à ces faibles dilutions, sous peine d’empoisonnement.
Les Poconéols étant des médicaments homéopathiques tous dynamisés en 5CH (à l’exception du n°82), la question de la dose avec le procédé d’Infopathy peut donc être éludée, et boire au moins 3 verre de 50ml de l’eau informée par jour est suffisant.
Longévité et stabilité
L’eau préparée perd ses propriétés :
- A la proximité de champs magnétiques, il faut garder une distance de 1 mètre des appareils électriques
- Sous l’exposition directe aux rayons du soleil (réinformation)
- Au bout de 3 jours (bruit électromagnétique ambiant). Il existe toutefois une méthode pour préparer des gouttes avec une durée d’efficacité de 30 jours. Elle est décrite sur le site d’Infopathy (section Aide).
Etant donné que préparer l’eau prend 2 minutes, ces limitations ne sont pas rédhibitoires, simplement elles imposent l’achat du dispositif d’impression, ce qui est un gage d’autonomie.
