Le débat sur la mémoire de l’eau a commencé en 1988 et en 2023, soit 35 ans plus tard, la majorité de la communauté scientifique le rejette, même si un nombre croissant de scientifiques déclarent avoir confirmé les résultats de base obtenus par le groupe de Jacques Benveniste.
Luc Montagnier en fait parti. Il a repris les travaux de Benveniste et les a poursuivis. En témoigne ses dépôts de brevets et sa fameuse publication sur le transfert d’ADN via une porteuse à 7Hz d’un tube à essai à un autre, et d’un labo à l’autre par l’intermédiaire d’un fichier informatique; certains parlent de « téléportation » d’ADN, qui a fait l’objet d’un dépôt de brevet aux Etats-unis.
Nul besoin de rappeler les réactions qu’ont suscitées les affirmations de J. Benveniste et L. Montagnier. Mais la science juge les résultats, pas les personnes, n’est-ce pas ? Cela reste à démontrer ! Il y a de très nombreux articles « à charge » qui cherche à dénigrer ces pionniers; on s’en convainc rien qu’à consulter Wikipedia, infecté par le manque de neutralité. A tel point que toute tentative de reproduction par d’autres équipes sera très peu gratifiante et peu encouragée par les directeurs de laboratoires.
Comment comprendre pourquoi une affirmation surprenante d’éminents scientifiques est apparemment balayée d’un revers de la main.
Il y a les faits reproductibles. Le problème ce sont les explications. Il n’y a que des hypothèses, et elles demandent un effort d’imagination, un changement de paradigme et l’abandon des mécanismes de pensée habituels, sortir des sentiers battus et faire un saut dans l’inconnu. En gros faire de la recherche ! Cela ne plaît pas à tout le monde. Les modèles construits jusqu’à présent confrontés à des faits inexplicables doivent être remis en cause et élargis. La physique a vécu cette révolution avec l’avénement de la physique quantique. Mais curieusement les découvertes de la physique quantique ont du mal à être appliquées au monde du vivant, à la biologie, à la physiologie, qui a la fâcheuse tendance à rester accrochée au paradigme mécaniste newtonien. Mais pour combien de temps encore ?
Sur cette question, il faut citer le prologue intéressant du livre du Dr Gerber, « Vibrational medicine » (traduit en 14 langues, sauf le français) dont voici une traduction :
AVANT-PROPOS,
par William A. Tiller, Ph.D.
Jusqu’à récemment, la science et la médecine occidentale traditionnelle considéraient que les organismes vivants fonctionnaient en grande partie grâce à la séquence de réactions suivante :
Équation 1.
FONCTION <=> STRUCTURE <=> CHIMIE
Lorsqu’un organisme ne fonctionnait pas correctement, la cause était attribuée à des défauts structurels du système résultant de déséquilibres chimiques. Il a été reconnu que l’homéostasie au niveau chimique pouvait dépendre d’une connexion avec une structure énergétique de niveau plus profond dans l’organisme, mais aucune discrimination claire de cette connexion n’a été faite. Plus récemment, on a pris conscience des interactions entre les états chimiques et les champs électromagnétiques. Des études en neuropsychiatrie nous montrent que de petits courants électriques entre des points spécifiques du cerveau donnent lieu aux mêmes changements comportementaux que ceux observés avec certains produits chimiques spécifiques stimulant le cerveau. Il a été démontré que de petits courants électriques continus (1012 amp/mm2 à 10’9 amp/mm2) appliqués aux leucocytes in vitro produisent une régénération cellulaire, alors que des densités de courant plus importantes produisent une dégénérescence cellulaire. Ces études ont été étendues à l’amélioration de la guérison des fractures chez les animaux et les humains. Ainsi, bien que nous ne comprenions pas encore les voies détaillées par lesquelles les champs électriques et magnétiques se couplent dans le métabolisme cellulaire, il est clair que l’équation 1 doit être remplacée par :
Équation 2.
FONCTION <=> STRUCTURE <=> CHIMIE <=> CHAMPS D’ÉNERGIE ÉLECTROMAGNÉTIQUE
Une illustration de l’équation 2 est la loi de Wolf sur les changements de structure osseuse, qui stipule que si un os reçoit une contrainte non uniforme pendant une période prolongée, cet os développera de nouveaux trabécules aux endroits exacts nécessaires pour supporter au maximum cette nouvelle répartition de la contrainte. Le champ de contrainte physique se manifeste dans les fibres et le collagène qui sont tous deux piézoélectriques, de sorte qu’un champ électrostatique est produit avec une orientation et une polarité spécifiques. Ce champ électrostatique, avec les microcourants qui lui sont associés, provoque une redistribution des ions et des colloïdes dans les fluides corporels locaux vers des endroits spécifiques où l’agglomération et la gélification s’installent. Ces nouvelles structures semi-solides vieillissent et se calcifient, formant finalement les microstructures qui constituent le trabéculum. On peut facilement imaginer que des contraintes plus subtiles, de nature émotionnelle ou mentale, mettent en mouvement la chaîne de séquences qui précède.
L’équation 2 présente un défaut évident : elle ne tient pas compte des effets mentaux. Sous hypnose, le corps humain a réalisé des prouesses de force et d’endurance tout à fait remarquables qui témoignent d’un lien inconscient entre l’esprit et la structure. Dans les disciplines de l’aïkido, du zen et du yoga, nous constatons un lien conscient entre l’esprit et la structure et la fonction. Des études récentes dans le domaine des techniques de rétroaction biologique montrent que l’esprit dirigé ne peut pas seulement contrôler diverses fonctions corporelles autonomes telles que la température de la peau et la douleur, mais qu’il peut également réparer le corps. Enfin, sur un autre plan, la psychothérapie moderne a montré que certains traitements chimiques influencent les états mentaux, et que certains traitements mentaux influencent les états chimiques. Le fait est que les « champs mentaux » sont des contributions supplémentaires qui doivent être placées sur le côté droit de la chaîne de réaction donnée dans l’équation 2. D’autres champs, non encore clairement discriminés, semblent également jouer un rôle dans cette chaîne de réaction. Appelons-les tous sous le nom de « champs d’énergie subtile » et réécrivons l’équation 2 comme suit :
Équation 3
FONCTION <=> STRUCTURE <=> CHIMIE <=> CHAMPS D’ÉNERGIE ÉLECTROMAGNÉTIQUE <=> CHAMPS D’ÉNERGIE SUBTILE
L’équation 3 est une représentation raisonnable pour un organisme vivant, une cellule ou une membrane. Chaque élément de la chaîne de réaction maintient ses conditions d’homéostasie grâce au soutien immédiat de l’élément situé à sa droite. Le développement d’un déséquilibre grave dans un élément particulier de la chaîne conduit, à terme, à une perturbation évidente de l’homéostasie pour l’élément de gauche. Ainsi, pour développer un système d’alerte précoce concernant l’homéostasie chimique d’un système biologique, il faut créer un dispositif qui surveille la nature électrique du système biologique. Pour obtenir des informations sur les futures perturbations du système bioélectrique, il faut surveiller les champs d’énergie subtile de l’ensemble de l’entité biologique. À l’heure actuelle, il existe très peu de connaissances sur la nature et le caractère de ces champs d’énergie subtile, c’est pourquoi la surveillance du système électrique doit être utilisée comme base d’alerte précoce. C’est une circonstance heureuse, car nos compétences techniques se sont considérablement accrues dans ce domaine au cours des dernières décennies.
Un certain nombre d’appareils électriques sont actuellement disponibles pour le diagnostic rapide de l’état de santé du corps et pour le traitement des déséquilibres de cet état. De nombreux praticiens de la santé holistique commencent à utiliser ces appareils, et il est devenu important de comprendre comment ils fonctionnent au niveau électrique et ce qu’ils mesurent réellement dans le corps humain. En utilisant des informations de base sur les propriétés électriques et le comportement de réponse des zones macroscopiques et microscopiques (points d’acupuncture) de la peau, il a été possible de rendre compte de toutes les caractéristiques clés des trois principaux instruments de diagnostic sur le marché. L’un de ces instruments, le Dermatron de Voll, est également utilisé dans la sélection des remèdes homéopathiques pour le patient. Il constitue donc un pont étroit entre les domaines de l’énergie électromagnétique et de l’énergie subtile, comme le montre l’équation 3. Pour renforcer ce pont et lui donner éventuellement des fondements quantitatifs, nous devons mieux comprendre la nature fondamentale de l’homéopathie et son rapport avec la médecine occidentale traditionnelle.
On pourrait dire que c’est l’accent mis sur la maladie plutôt que sur la santé qui a séparé les pratiques allopathiques et homéopathiques. Le corps physique révèle la matérialisation évidente de la maladie ; la relation avec les aspects plus subtils qui ont trait à la santé n’est pas aussi facilement mesurable. La médecine allopathique conventionnelle traite directement des composants chimiques et structurels du corps physique. Elle peut être classée comme une médecine véritablement objective parce qu’elle traite avec la nature à un niveau spatio-temporel purement quadridimensionnel, et a donc développé de nombreuses preuves directes en laboratoire pour étayer ses hypothèses physiochimiques. Cela est dû au fait que la capacité de détection fiable des humains et des instruments fonctionne actuellement à ce niveau.
La médecine homéopathique, en revanche, traite indirectement de la chimie et de la structure du corps physique en s’adressant directement aux substances et aux énergies du niveau suivant, plus subtil. Elle doit être classée comme une médecine subjective à l’heure actuelle pour les raisons suivantes : 1) Elle traite de l’énergie qui peut être fortement perturbée par l’activité mentale et émotionnelle des individus, et 2) il n’y a pas eu d’équipement de diagnostic disponible pour soutenir l’hypothèse du médecin homéopathe.
Une structure théorique et un laboratoire expérimental pour l’étude des énergies subtiles sont des ingrédients essentiels pour la création d’une base scientifique correcte pour l’homéopathie. Un postulat concernant la première permet un test via la seconde, de sorte qu’un processus d’amorçage peut être invoqué pour progresser vers le but recherché. Pour cette raison, l’équation 3 doit être modifiée sous la forme suivante :
Équation 4.
STRUCTURE ESPACE/TEMPS POSITIF <=> PHYSICO-CHIMIE <=> CHAMPS D’ÉNERGIE ÉLECTROMAGNÉTIQUE <=> CHAMPS D’ÉNERGIE SUBTILE <=> CHAMPS D’ÉNERGIE MAGNÉTOÉLECTRIQUE <=> CHIMIE ÉTHÉRIQUE <=> STRUCTURE ESPACE/TEMPS NÉGATIF <=> FONCTION <=> STRUCTURE ESPACE/TEMPS POSITIF
La médecine allopathique suit la voie supérieure entre les champs d’énergie subtile et l’état de fonctionnement de l’être humain, tandis que la médecine homéopathique suit la voie inférieure entre ces deux domaines. En fait, la discrimination entre les énergies subtiles de l’équation 3 conduit au circuit parallèle en série de l’équation 4, dans lequel deux niveaux différents de chimie et d’énergie opèrent dans deux cadres spatio-temporels différents.
Ce livre de Richard Gerber, M.D., est une tentative de présenter un pont conceptuel entre la médecine allopathique actuelle et la future médecine de l’énergie subtile. Il s’agit d’un livre de grande envergure qui tente d’établir une perspective qualitative et quelque peu spéculative. Il n’est pas nécessaire d’être d’accord avec toutes les détails donnés dans ce livre pour apprécier sa synthèse globale. C’est cette synthèse globale de l’information, et cette grande perspective, que le Dr Gerber espère que les lecteurs emporteront avec eux.
J’ai aimé ce livre, j’ai pris plaisir à le lire et je pense qu’il s’agit d’une contribution opportune. Je ne suis pas d’accord avec tout ce qu’il contient mais, dans l’ensemble, il correspond à ma vision personnelle de l’essentiel, qui est la suivante :
Nous sommes tous des éléments d’esprit, indestructibles et éternels, et multiplexes dans le divin. Nous possédons un mécanisme unique de perception qui est l’esprit. Dans ma modélisation théorique, l’esprit se compose de trois niveaux – l’instinctif, l’intellectuel et le spirituel – et l’esprit est supposé fonctionner dans un treillis spatial à six dimensions.
Cet esprit crée un véhicule pour l’expérience (un univers, un monde, un corps) et chaque personne, en tant qu’être spirituel plus mécanisme de perception, investit dans ce véhicule qui suit un parcours programmé en permanence. L’être est relié au véhicule par le biais des circuits émotionnels. Le matériel utilisé pour la construction de ce véhicule ou simulateur est de nature double ou conjuguée. Une partie, de nature électrique et se déplaçant à des vitesses inférieures à celle de la lumière électromagnétique, est d’énergie positive et de masse positive. Elle constitue la partie physique du simulateur. L’autre partie, qui est de nature magnétique et se déplace à des vitesses supérieures à celle de la lumière électromagnétique, est de masse négative et d’énergie négative. Elle constitue la partie éthérique du simulateur. La somme totale de ces deux énergies est nulle, tout comme la somme de leurs entropies. Ainsi, le simulateur ou véhicule total est créé à partir de ce que nous appelons « l’espace vide », l’espace de l’esprit, par un processus de type fluctuation. Ce monde véhicule (simulateur) n’est que le « monde des apparences et des formes », le monde de la réalité relative que nous façonnons avec notre esprit. En dehors de cela, il y a l’absolu ! Il est nécessaire d’apprendre à pénétrer les faiblesses du « relatif » afin d’apprécier l' »absolu ». Cependant, tous ceux qui lisent ce livre sont actuellement dans le simulateur et, lorsque nous parlons de santé holistique et d’une nouvelle médecine, il doit s’agir de la médecine de cette matière, la matière du simulateur. Nous en savons beaucoup sur un aspect de la matière du simulateur (le physique) mais très peu sur sa partie conjuguée (l’éthérique). Le moment est venu de commencer à étudier sérieusement l’éthérique et de développer une science de la matière éthérique pour équilibrer notre science actuelle, physique et matérielle. Ce livre est une contribution significative à la nouvelle conscience nécessaire pour soutenir une telle tâche.
Professeur William A. Tiller, Ph.D.
DÉPARTEMENT DES SCIENCES ET DE L’INGÉNIERIE DES MATÉRIAUX, Université de Stanford
Juin 1987
Vibrational Medicine, Richard Gerber, M.D., third edition, Bear & Company Rochester Vermont
La publication de Surinov & all 2017 qui montre l’effet in vitro et in vivo (sur des souris et des humains), d’eau informée avec des substances médicamenteuses (dans la bibliographie de Surinov & all 2017, on retrouve les références aux publications de Beneviste et Montagnier) :
« Bien que l’efficacité biologique des technologies de l’information dont il est question ici ait été reproduite à plusieurs reprises dans des expériences physiques, biophysiques et biochimiques in vitro et in vivo, et qu’elle ait été confirmée par de nombreuses observations thérapeutiques de patients prenant de l’eau avec des préparations médicinales à base de IC, la communauté scientifique ne s’empresse pas de reconnaître leur importance sur le plan scientifique et pratique. Il y a plusieurs raisons à cela.
Information Pharmacology – Replication of Information Copies
Selon la tradition très stable de la science, tous les processus physiologiques et pathologiques de l’organisme sont généralement expliqués par des transformations moléculaires, c’est-à-dire des réactions chimiques. Ces réactions, comme on le sait, obéissent à la loi de l’action de masse, découverte en 1864 par les scientifiques norvégiens K. Guldberg et P. Vaage. Au cours du siècle et demi qui vient de s’écouler, de nombreux faits ont été accumulés qui ne sont pas compatibles avec cette loi, du moins en biologie et en pharmacologie. Néanmoins, cette loi domine, car elle répond aux exigences pratiques avec des critères quantitatifs clairs des transformations moléculaires, non seulement in vitro mais aussi in vivo dans une large mesure. L’idée de la possibilité pour les substances biologiquement actives d’exercer leur activité sur les organismes vivants par le biais de leurs émissions inhérentes, y compris à distance, est souvent choquante, et parfois complètement rejetée.
En attendant, il convient ici de mentionner l’affirmation d’Albert Einstein : « La matière et l’émission, selon la théorie spéciale de la relativité, ne sont que des formes spéciales d’énergie distribuée dans l’espace ; ainsi, une masse pesante perd sa position spéciale et n’est qu’une forme spéciale d’énergie » (1920).
Le « principe d’intensification », formulé par le célèbre théoricien de la biologie N.V. Timofeev-Resovskiy [17], est également lié au problème examiné ici. Conformément à ce principe, avec une certaine compréhension générale, la conséquence biologique des effets du facteur externe sur l’organisme/les organismes et les populations peut non seulement ne pas avoir de relation quantitative, mais aussi les dépasser de manière substantielle. Dans notre cas, cela se manifeste notamment par le fait qu’aucune dépendance quantitative de l’effet à la durée d’exposition des substances au rayonnement laser n’a été enregistrée dans les expériences, de même que la durée d’exposition de l’eau au CI des préparations.
Il ne fait aucun doute que les mécanismes des phénomènes considérés doivent faire l’objet d’une étude plus approfondie sur une base scientifique interdisciplinaire. »
of Drug Substances in Aquatic Vehicles, B.P. Surinov, K.G. Hachumova, E.P. Germanov, A.A. Fedorenko, International Journal of Unconventional Science, Issue E2, pp. 3-9, 2017
Je pense que l’on peut ajouter que le développement des recherches autour des découvertes de Benveniste, Montagnier, Surinov, et les autres est une menace économique à l’encontre des grands groupes pharmaceutiques et agro-chimiques. Transformer une substance en information ré-imprimable à l’ère du numérique présage une révolution, et une libération. Être capable d’analyser une substance du point de vue de sa signature électromagnétique ouvre également des applications en matière de détection et de diagnostique. Les applications délibérément ténébreuses, par exemple la propagation de maladies par les ondes, deviennent aussi une possibilité.
C’est en 2019 au 6ème congrès international sur les ondes scalaires, lors de la présentation de Vladislav Zhigalov sur les recherches russes dans le domaine des ondes scalaires ou champs de torsion, que je découvre l’existence du projet « Infoceutics », un projet issu des travaux de Surinov qui ont pris au sérieux les recherches de Benveniste et Montagnier.
Vladislav Zhigalov a participé à la conception du dispositif qui permet d’imprimer une substance, ou un complexe de substances dans un milieu liquide. Infoceutics a été renommé depuis Infopathy et dépend d’une société basée au Canada. Curieux, j’ai commandé l’appareil. C’est un cylindre au format de poche de 85mm de diamètre et 15min de hauteur qui embarque un électro-aimant, des diodes laser de basse intensité et une batterie rechargeable. On y connecte un cable audio jack pour transmettre le signal depuis un lecteur audio. Deux minutes sont nécessaires pour transférer une substance dans 2 litres d’eau. Le site répertorie plus de 2500 substances médicamenteuses (appelées « IC ») de différentes natures : allopathique, homéopathique, algorithme (PEMF, ondes électromagnétiques pulsées), phytothérapique, etc. L’eau reste informée 2 jours ou 30 jours selon la méthode de préparation. Elle peut être bue ou vaporisée. Des crèmes neutres peuvent aussi être exposées au dispositif.
Bien entendu au début j’étais septique. Après quelques tests, sur moi-même, ma femme et des plantes (article à venir sur ce sujet), j’étais simplement stupéfait.
Concernant les explications, Montagnier s’est associé au physicien italien Emilio Del Giudice et à ses collègues, qui ont publié en 1988 une « théorie de l’eau liquide basée sur la théorie quantique des champs » , selon laquelle les molécules d’eau peuvent former des « domaines cohérents » d’environ 100 nm contenant des « électrons presque libres » capables d’absorber l’énergie électromagnétique et de l’utiliser pour créer des structures dissipatives auto-organisées. On peut dire que c’est un domaine ouvert de recherche. Le professeur Marc Henry est me semble-t-il le plus avancé en France dans ce domaine. On citera 2 de ses ouvrages :
- L’eau et la physique quantique – vers une révolution en médecine. 4ème de couverture : « Les travaux très controversés de Jacques Benveniste, repris depuis 2004 par le professeur Luc Montagnier, en mettant au-devant de la scène médiatique la théorie de la mémoire de l’eau , ont suscité une vive polémique au sein des cercles scientifiques. Pour résoudre la crise, certains chercheurs, dont l’auteur, proposent une vision quantique du monde biologique. La physique quantique des champs voit dans le vide quantique la source de toute matière et de toute énergie, et serait en mesure d’expliquer comment l’eau, via la formation de domaines de cohérence , pourrait effectivement être un vecteur d’information biologique. »
- L’eau morphogénique. Santé – Information et champs de conscience. 4ème de couverture : « Si la révolution quantique s’est imposée en physique puis en chimie, la biologie peine encore à « mettre du quantique » dans le fonctionnement de la cellule. Le présent ouvrage analyse les raisons d’une telle réticence qui prive la médecine d’outils fantastiques basés sur les lois quantiques et non sur la physique approximative du XIXe siècle qui règne encore en maître incontesté dans les laboratoires de biologie et les hôpitaux. »
- Sans oublier le site VickyApp qui est une mine d’informations sur la physique quantique et l’eau morphogénique et ses applications.
« Aussi étrange que cela puisse paraître pour des profanes, il se trouve que le concept de mémoire de l’eau que je viens d’illustrer de manière quantitative et qui est une conséquence inéluctable de l’application de la théorie quantique des champs à l’eau n’est pas vraiment nouveau. La théorie des domaines de cohérence a en effet été publiée pour la première fois dans une revue de physique très renommée[121]. Puis, elle a été améliorée par deux fois (voir les notes n° 72 et n° 78) de manière indépendante par deux équipes pour améliorer certains points de détails. Tout a été publié conformément aux règles de la démarche scientifique dans des revues à comité de lecture, ce qui permet d’affirmer aujourd’hui qu’elle a été validée par des experts qui n’ont rien trouve à redire. Le concept même de mémoire de l’eau n’a rien d’étrange même pour des prix Nobel de physique ou de médecine.
Voici par exemple ce qu’affirme le prix Nobel de physique 1973 Brian D. Josephson[122] : « Que nous dit la science sur la possibilité de l’existence de la « mémoire de l’eau ? Les scientifiques qui ne sont pas érudits en matière d’eau tendent à en avoir une vision naive: un liquide composé de molécules H2O plus ou moins isolées, en mouvement. En fait, l’eau est bien plus complexe, avec des molécules individuelles s’agglutinant temporairement pour former un réseau. Que ces molécules puissent interagir de façon à produire un mécanisme permettant la mémoire de l’eau n’aurait rien d’inconcevable. Les scientifiques bien informés au sujet de l’eau prennent beaucoup plus au sérieux la proposition de mémoire que ceux qui ne le sont pas. En biologie également, les scientifiques bien informés admettent l’importance de la structure de l’eau. »
Et puis il y a eu aussi le prix Nobel de médecine Luc Montagnier qui a repris avec courage les travaux du chercheur français Jacques Benveniste sur la biologie numérique après son décès en 2004. Je ne reviendrais pas sur les détails de l’expérience critique de l’équipe Montagnier qui avec l’aide du chercheur Jamal Aïssa a pu démontrer que l’on pouvait valider le concept de mémoire de l’eau sur un plan expérimental en enregistrant sous forme de fichier numérique le spectre de fréquences de fragments d’ADN dilués dans de l’eau ?
Cette expérience critique où l’on téléporte la structure de l’ADN sous forme numérique en utilisant l’eau comme milieu de lecture et d’écriture a été faite et refaite de multiples fois et l’explication théorique sous-jacente a été exposée en détail[124]. L’expérience a aussi été refaite très récemment par un groupe de chercheurs totalement indépendants du groupe de Montagnier qui a réussi à montrer que tous les ADN, même ceux qui ne sont pas pathogènes, laissaient une trace de nature électromagnétique détectable apres dilution/succussion dans l’eau[125]
Eh bien, malgré tous ces travaux et toutes ces publications, une grande majorité de chercheurs académiques continuent de nier le phénomène et cherchent aussi à le ridiculiser par tous les moyens à leur disposition. Cette attitude qui serait parfaitement compréhensible chez des religieux qui ont la foi en des dogmes inamovibles est par contre très surprenante pour des scientifiques qui sont censés s’incliner devant les faits expérimentaux. C’est ici que l’on touche du doigt le véritable formatage intellectuel qui a été réalisé en 1910 par le rapport Flexner commandité par plus grandes fortunes de l’époque pour mettre en conformité la biologie avec les valeurs du capitalisme industriel.
Car comme le souligne Luc Montagnier dans le documentaire référencé dans la note n°123 : « Le jour où l’on admet que les ondes peuvent agir, on peut agir et traiter par les ondes. C’est un nouveau domaine de la médecine qui fait peur à l’industrie pharmaceutique. »Car bien évidemment l’industrie pharmaceutique a pu naître et se développer grâce au rapport Flexner et nous a imposés de manière durable et pérenne sa vision purement mercantile et matérialiste de la médecine dite « moderne ». Rappelons aussi que les grandes fortunes du début du xx° siècle ont très vite compris l’intérêt qu’il pouvait y avoir à noyauter la presse et les gouvernements. Lorsqu’un sujet dérange un tant soit peu ces grands messieurs de la finance mondiale, ils font tonner les canons des organes de presse qu’ils tiennent par leur pouvoir financier démesuré pour que le grand public en arrive à être convaincu que la mémoire de l’eau est une vaste foutaise intellectuelle propagée par des charlatans ou des illuminés de tout poil.
Pr Marc Henry, pages 150-151, L’eau morphogénique. Santé – Information et champs de conscience., éditions Dangles, 2020
Fort heureusement, le rapport Flexner de 1910 n’avait pas prévu qu’entrerait en scène dès 1970 le réseau internet qui permet à toute information, même la plus folle, de se propager avec la vitesse de la foudre pour venir contrecarrer les idées propagées par des grands médias peu objectifs car dépendant financièrement de personnes dont le seul objectif est d’être toujours plus riche.
Nous vivons donc une époque charnière où chacun doit se faire sa propre opinion sur un sujet donné en croisant les informations qui proviennent des médias traditionnels souvent biaisées par des intérêts commerciaux avec les informations qui proviennent d’internet où le meilleur côtoie le pire. Pour ce qui me concerne, je pense avoir donné ici des éléments objectifs et scientifiques concernant la réalité de la mémoire de l’eau, ce qui ouvre de vastes champs d’application pour une médecine qui commence à comprendre que l’ère du tout chimique est révolue.
Les conséquences pour la médecine de ce cinquième cadre de pensée sont donc énormes et commencent tout juste à être exploitées. Ce cadre permet bien sûr de dématérialiser le remède, c’est-à-dire qu’il devient possible et légitime d’utiliser soit des rayonnements électromagnétiques ayant un spectre de fréquences qui va rentrer en résonance avec le spectre de fréquences caractéristique d’une pathologie, soit de l’eau informée qui va avoir les mêmes effets puisque les domaines de cohérence sont une imbrication étroite de molécules d’eau, d’éther et de rayonnement électromagnétique. De fait, on voit émerger de nos jours une médecine dite « quantique » où le diagnostic médical se fait en enregistrant au moyen d’électrodes un spectre de fréquence caractéristique du malade, ce qui permet de le comparer à une vaste base de données où sont répertoriées les spectres de fréquence de personnes ayant des pathologies clairement identifiables et diagnostiquées.
On obtient ainsi un diagnostic à partir duquel le thérapeute va entreprendre de soigner la personne malade selon 3 voies principales :
1. Agir au niveau matériel au moyen de médicaments, de drogues, de plantes, de compléments alimentaires, etc.
2. Utiliser l’eau comme support de mémorisation d’un spectre de fréquence transféré au moyen de signaux électromagnétiques ou bien par une suite de dilutions/succussions (homéopathie).
3. Envoyer directement un spectre de fréquences électromagnétiques via des électrodes.
Il convient de comprendre que le cinquième cadre de pensée, valide toutes ces méthodes d’action que ce soit en vue de guérir ou avec le but de rendre malade. L’attitude consistant à regarder avec condescendance et mépris les méthodes de type 2 ou 3 et qui se trouve être assez répandue en médecine occidentale où seul le niveau 1 est jugé pertinent découle directement d’une méconnaissance, voire d’une ignorance totale du cinquième cadre de pensée.
Si ces lois quantiques sont correctement comprises et assimilées, cette attitude devient tout simplement ridicule et intenable.
Ceci amène bien évidemment à se poser la question de savoir dans quelle mesure une méthode thérapeutique est en droit de revendiquer le label « quantique ». Car le mercantilisme ambiant fait qu’il peut être intéressant d’appliquer un tel label sur tout type de médecine qualifiée de non conventionnelle, et ce pour arriver à vendre le plus grand nombre de gadgets électroniques à l’efficacité revendiquée mais pas toujours prouvée. (…)
En conclusion
Aujourd’hui on peut disposer à domicile d’une unité de réplication de substance pour moins de 200€. Certains n’ont pas attendu les explications théoriques pour trouver des applications pratiques et commerciales. Attention aux risques de l’automédication toutefois.
Cela devrait inciter à poursuivre la recherche sur le sujet. Beaucoup de questions restent ouvertes. D’une part sur le plan théorique et transdisciplinaire où les modèles quantiques doivent enrichir le biologique et le vivant, et d’autre part sur le plan pratique et thérapeutique. Par exemple, si l’effet de la substance a été mise en évidence in vivo et in vitro, la question du dosage reste un sujet d’interrogation.
Les applications de la biologie numérique et de la pharmacologie informationnelle sont infinies. Parmi elles, citons les engrais numériques et les stimulateurs de croissance, la détection des organismes contaminants dans l’agriculture, les produits pharmaceutiques numériques, l’homéopathie numérique, l’analyse et la purification de l’eau et les pesticides électromagnétiques.
Naturellement, elles menacent économiquement de grands pans de l’industrie : l’industrie agro-chimique et pharmaceutique.
Références
La liste des brevets déposés par Jacques Benveniste : https://patents.justia.com/inventor/jacques-benveniste
La liste des brevets déposés par Luc Montagnier : https://patents.justia.com/inventor/luc-montagnier
Ultra-low emission and the modeling of the properties of biologically active substances. Surinov B.P. – Head of Lab., D. Sc., Biol. A. Tsyb MRRC, Obninsk, Russia. Contacts:4 Korolev str., Obninsk, Kaluga region, Russia, 249036. Tel.: +7 (484) 399-71-61
http://www.radiation-and-risk.com/en/year2018-en/issue2/1538-3
METHOD FOR GENERATING CYTOTOXIC ELECTROMAGNET SIGNALS
Montagnier L., Lavallee C., Aissa J. Patent US 0,024,701 A1. General procedure for the identification of DNA sequences generating electromagnetic signals in biological fluids and tissues, 2012.
Water Bridging Dynamics of Polymerase Chain Reaction in the Gauge Theory Paradigm of Quantum Fields
https://www.mdpi.com/2073-4441/9/5/339
L. Montagnier, J. Aïssa, A. Capolupo, T. J. A. Craddock, P. Kurian C. Lavallee, A. Polcari, P. Romano, A. Tedeschi and G. Vitiello
Experimental finding on the electromagnetic information transfer of specific molecular signals mediated through the aqueous system on two human cellular models
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22385079/
Alberto Foletti 1, Mario Ledda, Enrico D’Emilia, Settimio Grimaldi, Antonella Lisi
Electromagnetic signals are produced by aqueous nanostructures derived from bacterial DNA sequences
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20640822/
Luc Montagnier 1, Jamal Aïssa, Stéphane Ferris, Jean-Luc Montagnier, Claude Lavallée
DNA waves and water
https://iopscience.iop.org/article/10.1088/1742-6596/306/1/012007/meta
L Montagnier1,2, J Aissa2, E Del Giudice3, C Lavallee2, A Tedeschi4 and G Vitiello5
L Montagnier et al 2011 J. Phys.: Conf. Ser. 306 012007
Activation of human neutrophils by electronically transmitted phorbol-myristate acetate
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/10790721/
Y Thomas 1, M Schiff, L Belkadi, P Jurgens, L Kahhak, J Benveniste
Digital biology: Specificity of the digitized molecular signal
https://www.researchgate.net/publication/283992973_Digital_biology_Specificity_of_the_digitized_molecular_signal
January 1998 The FASEB Journal 12:A412
J. Benveniste Jamal Aïssa Didier Guillonnet
A Revolution in Water Science?
https://vixra.org/pdf/1810.0002v1.pdf
Bibliographie de J. Benveniste sur le sujet de la « mémoire de l’eau »
- Benveniste, Jacques (2005) Ma vérité sur la ‘mémoire de l’eau’, Albin Michel. ISBN 2-226-15877-4
- Benveniste, Jacques. “Where is the Heresy?” Dec 1998
- Benveniste, Jacques. From « Water Memory » effects To « Digital Biology »
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1 réflexion au sujet de « De la biologie numérique à la pharmacologie informationnelle »
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